Trois Voyages à Potamia 2- Ensuite on raconte ceux qu’on aime
CHF 23.50

Auteur: Louis de Saussure
« Découvrez Trois Voyages à Potamia, une saga poétique où Yannis explore le deuil et les secrets d’une Grèce éternelle, entre l’odeur des figuiers et la mémoire des exils. »
Sortie le 15.04.2025
Quarante jours après le décès de sa mère, Yannis est de retour en Grèce, à Potamia.
À la douleur du deuil se mêle le besoin urgent de comprendre: pourquoi, jeune fille moderne et éprise de poésie, Agapi a-t-elle choisi ce petit village de Naxos où elle a vécu dans le parfum des figuiers et les traditions d’un temps presque révolu ?
Un siècle plus tôt, la Grande Catastrophe chasse Daphni, et ses fils, d’Anatolie, sur les chemins d’un exil qui les conduira jusqu’au port du Pirée. Chaque enfant empruntera une voie bien différente dans cette Grèce en proie à tous les tourments du XXe siècle.
Dans ce deuxième volet de Trois Voyages à Potamia, Louis de Saussure poursuit l’évocation d’une Grèce éternelle en contrepoint du cœur endeuillé d’un fils. En faisant résonner les destins individuels, les héros historiques, jusqu’au vacillement des empires, il esquisse un chemin de consolation empreint d’une profonde humanité: celle qui fait de chacun de nous le porteur de toutes les histoires qui l’ont précédé.
À la douleur du deuil se mêle le besoin urgent de comprendre: pourquoi, jeune fille moderne et éprise de poésie, Agapi a-t-elle choisi ce petit village de Naxos où elle a vécu dans le parfum des figuiers et les traditions d’un temps presque révolu ?
Un siècle plus tôt, la Grande Catastrophe chasse Daphni, et ses fils, d’Anatolie, sur les chemins d’un exil qui les conduira jusqu’au port du Pirée. Chaque enfant empruntera une voie bien différente dans cette Grèce en proie à tous les tourments du XXe siècle.
Dans ce deuxième volet de Trois Voyages à Potamia, Louis de Saussure poursuit l’évocation d’une Grèce éternelle en contrepoint du cœur endeuillé d’un fils. En faisant résonner les destins individuels, les héros historiques, jusqu’au vacillement des empires, il esquisse un chemin de consolation empreint d’une profonde humanité: celle qui fait de chacun de nous le porteur de toutes les histoires qui l’ont précédé.
« Un trou s’était ouvert béant sous la maisonnée et peu à peu les efforts humains tentaient de le combler avec toutes les matières mentales disponibles, afin qu’un jour, on puisse à nouveau vivre. Mais jamais ce vide ne serait recouvert complètement ; tout ce que tu espérais maintenant c’est qu’il viendrait un moment où il y pousserait des fleurs nouvelles, odorantes et harmonieuses. »
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